La conscience morphémique : le cas d’étudiants finnophones dans l’apprentissage du français
Kortelainen, Veikka (2024-04-29)
La conscience morphémique : le cas d’étudiants finnophones dans l’apprentissage du français
Kortelainen, Veikka
(29.04.2024)
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https://urn.fi/URN:NBN:fi-fe2024043024266
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Tiivistelmä
Dans le processus d’apprentissage d’une langue, la compréhension des mots et des morphèmes qui les forment joue un rôle impératif. Ce rôle grandit lorsqu’on entre le niveau universitaire des études de langue française. Les affixes formant une partie notable du lexique français, ce travail vise à mesurer les habiletés des étudiants de français à les identifier. Le travail présent alors mesure une connaissance des étudiants dite la conscience morphologique : la question de recherche est de savoir quel est le degré de capacité des étudiants de français à identifier la structure des mots composés (particulièrement celle des mots préfixés). Le groupe cible est les étudiants du premier, deuxième et troisième an à l’Université de Turku dont la matière principale est la langue française.
La mesure de ces connaissances explicites est effectuée à travers un questionnaire en ligne créé en utilisant la programme Webropol. Ce questionnaire utilise une tâche dite tâche du jugement d’intrus. En somme, dans cette tâche, il faut trouver le mot qui n’est pas préfixé. De plus, vu la nature de cette tâche et le cadre théorique de ce travail, le terme conscience morphémique est adopté.
Les résultats du questionnaire permettent de constater qu’identifier certains préfixes peuvent s’avérer difficile bien que la plupart des répondants étudie français depuis au moins quatre ans. Les réponses de certaines questions illustrent une uniformité, simultanément celles d’autres illustrent une mesure de variation bien remarquable. En somme, la conscience morphémique en tant que sujet et les données ont illustré les choses suivantes : i) un tel sujet exigerait un cadre théorique plus exhaustif pour rédiger une méthodologie plus cohésive et ii) bien que le nombre de questions dans un tel questionnaire soit très limité, les données peuvent facilement grossir ce qui exigerait bien une analyse plus exhaustive.
La mesure de ces connaissances explicites est effectuée à travers un questionnaire en ligne créé en utilisant la programme Webropol. Ce questionnaire utilise une tâche dite tâche du jugement d’intrus. En somme, dans cette tâche, il faut trouver le mot qui n’est pas préfixé. De plus, vu la nature de cette tâche et le cadre théorique de ce travail, le terme conscience morphémique est adopté.
Les résultats du questionnaire permettent de constater qu’identifier certains préfixes peuvent s’avérer difficile bien que la plupart des répondants étudie français depuis au moins quatre ans. Les réponses de certaines questions illustrent une uniformité, simultanément celles d’autres illustrent une mesure de variation bien remarquable. En somme, la conscience morphémique en tant que sujet et les données ont illustré les choses suivantes : i) un tel sujet exigerait un cadre théorique plus exhaustif pour rédiger une méthodologie plus cohésive et ii) bien que le nombre de questions dans un tel questionnaire soit très limité, les données peuvent facilement grossir ce qui exigerait bien une analyse plus exhaustive.